Lors de l’invitation François Hollande, Angela Merkel a clarifié ses positions. Soutenue par ses autorités nationales et renforcée par sa fédération, elle a actuellement redit ses points de vue comme plus d’aide sans considération des mesures que le contexte requiert, surtout pas de partage sur les problèmes d’endettement de l’Europe, pas même d’euro-obligations, d’ailleurs pour la chancelière, ces dernières ne se produiraient que suite à l’établissement de l’alliance monétaire devant également être surveillée par la coalition politique.
Que se passe-t-il en Allemagne ?
Merkel ne peut être blâmée d’avoir envie de quitter le plan d’appui pour ses associés nageant dans les problèmes. L’ «égoïsme» économique rend la discussion compliquée. La chancelière a surtout peur pour l’économie de l’Allemagne, quel est le plafond de caisse que Berlin se permettre?
Les premiers indicateurs inquiétants pour ces derniers se sont manifestés montrant une diminution du développement de l’Allemagne. Le parti opposé le SPD, par son représentant Frank-Walter Steinmeier avertit d’or et déjà contre cette crise anéantissant tout se trouvant sur son chemin en Europe. Il a prévenu par ses termes : «il n’y a aucune sortie en vue et elle est maintenant en train de nous rattraper. Tout est maintenant braqué sur Bruxelles.
Cours de la bourse
Le CAC 40 a finit sur une grande hausse de 1,67% à 3.063,12 points à Paris. Le Footsie britannique a gagné 1,41%, le Dax allemand a obtenu 1,5%, le FTSEurofirst 300 a augmenté de 1,37%. Le domaine de la finance a été la tête de la session. A Wall Street, le Dow Jones a augmenté de 0,74% à 12.627,01 points, le Nasdaq a progressé de 0,75% à 2.875,32 points et le S&P 500 a obtenu 0,90% à 1.331,85 points.