Une faute de trading effectué par JP Morgan a souligné les nouvelles financières de cette semaine. La somme trader tourne autour de 2 à 3 milliards de dollars.
Dans cette situation, sa capitalisation, fortement pénalisée, a diminué jusqu’à aller au delà des peurs des plus mauvaises conséquences attendues.
Sur ce fait, la réponse des bourses américaines a été démesurée (diminution d’environ 10% du titre). C’est un indicateur de très grande sensiblerie des environnements financiers de l’Amérique. Il sera important de connaître l’actualité sur ce titre à partir de Lundi ; son éventuelle hausse prouvera la réaction excessive de Wall Street face à cette affaire si ce déficit reste tout de même entièrement subjectif pour JP Morgan.
Par rapport à l’incident accusant une année de la Société Générale, celle-ci égalait à 2 mois de déficit de profit pour JP Morgan.
On remarque nettement que les acteurs des organisations financières sont prêts à se défendre et sont peu confiants pour répondre si sévèrement.
Le futur important fait boursier serait en principe l’arrivée en bourse de Facebook informant de la terminaison pour l’instant de ses achats en entreprises High Tech.
La stabilité de certaines obligations et le bon indicateur de la consommation Américaine ont pu combler la prédisposition à la diminution de Wall Street comme le Dow Jones qui abandonne 0,27% à 12.820,60 points et le S&P 500 baisse de 4,60 points, 0,34% à 1.353,39 points.
Les bourses européennes terminent généralement la semaine avec constance et un peu de bénéfice : le CAC 40 prend -0,01% à 3.129,77 points, le Footsie à la city 0,57% et 0,95% pour le Dax Allemand.