De quelle manière mettre de côté les problèmes liés aux dettes toujours présentes et qui peut accaparer le centre d’intérêt du G20 ? Beaucoup de faits s’étant passés ou futurs remplit les pensées, les votes grecques dont l’issue sera su, l’avenir de l’Espagne avec une note suprême abaissée, la propagation des difficultés de prêt vers l’Italie.
On parlera également de taxe sur les échanges financiers de nouveau d’actualité, de la reprise du développement s’opposant à la poursuite des politiques de restriction abusifs.
L’Allemagne gère tant bien que mal la situation…ou la crise?
L’atmosphère franco-allemande a une chance de devenir mouvementé en conséquence d’une réprobation faite par Angela Merkel au sujet de l’économie de la France, des issues financières vraiment simplistes dont les obligations-euro.
L’Allemagne ne veut pas être la seule à supporter la crise de l’Europe avec argumentation à l’appui qu’elle représente la tête de l’Europe, et elle conteste l’idée facile contrastant l’austérité au développement.
Une nouveauté en plus, l’Allemagne s’ingère dans les affaires électorales de la Grèce au moyen de la traduction en grecque du Financial Times allemand racontant la raison pour laquelle l’éventuelle élection de la gauche radicale expulserait la Grèce de l’eurozone. Seul en travaillant avec des groupements politiques adhérant aux clauses des bailleurs de fond que la Grèce pourra rester parmi l’eurozone.
Aussi, cela communique une enquête édifiante montrant que 23% des grecs seulement veulent quitter l’eurozone.
Nouvelles sur les cours de la bourse
Le CAC 40 a obtenu 1,82% donc 55,17 points à 3.087,62 points, 1,48% pour le Francfort et 0,22% pour Londres. Le Dax allemand augmente de 1,48%.
Le Dow Jones obtient 115,26 points (0,91%) à 12.767,17. Le S&P500 gagne 13,73 points (1,03%) à 1.342,83. Le Nasdaq Composite avance de 36,47 points (1,29%) à 2.872,80.
