Pour faire suite aux bons buzz effectués par Facebook durant les plusieurs mois précédents son entrée au Nasdaq, actuellement c’est tout l’opposé qu’il réalise et cela indépendamment de sa volonté.
Le buzz propage les sons, mais les faits du marché exercent les règlements. Facebook débourse présentement ses places prétentieuses avant son entrée comme l’accroissement de la cotation du titre présenté, accroissement d’un quart de la valeur des titres. Prétentieux puisque même si il est le plus puissant réseau social dans le monde, il n’est pas encore parvenu à échanger son étonnante assistance en gains publicitaires. A titre d’illustration, Google par rapport à lui, a réussi à transmuer son test en points vraiment décevants à l’aide de son moteur de recherche et de ses mots-clés, rendant par là Facebook bien médiocre.
Plus réel toujours le fait que ces manageurs de portefeuilles refusent le titre parmi leur actif.
En résumé, Facebook ne dispose que d’une apparente valorisation ainsi qu’une tactique faible et chancelante.
La baisse de 30% de la cotation de son titre en comparaison avec son cours d’introduction, les espérances de montée faibles de son chiffre d’affaires, font donner un pronostic de lourde chute et permanente par quelques tiers personnes.
Actualité de cette journée, encore des problèmes générés par l’Espagne qui est déterminée à être premièrement indépendante, elle est obligée de combattre des taux de financement vraiment élevés lui bloquant dans le cas où elle est l’accès auprès des organismes de prêts.
Paris termine la bourse avec un CAC 40 réalisant une montée de 1,07% à 2.986,10 points, le Dax allemand quant à lui cède 0,15%.