C’est en ce jour que les auditeurs financiers délégués par la direction européenne dont l’UE, la BCE et la FMI doivent se trouver en Grèce pour s’informer si les règlements de suivi des mesures établies pour elle ont été respectés.
Le secret n’était pas bien gardé
Et il paraitrait que ce soit le bon moment. Des informations dans le pays se seraient divulguées comme quoi en dépit des serments à ne pas recruter de nouveaux employés, 70.000 salariés auraient été engagés.
Premièrement la Grèce n’était censée suppléer qu’un sur cinq employés allant à la retraite, elle n’aurait pas tenu cette promesse et ensuite 12.000 salariés municipaux auraient été engagés malgré le fait que des mesures d’économies au moyen d’une réunion des municipalités étaient envisagées.
Antonis Samaras ayant une opération de l’œil de prévu n’aura pas la possibilité de donner des explications lors du sommet de l’Europe pour le 28 et 29 cependant il a annoncé samedi qu’il espérait une diminution fiscale et la restriction des renvois de salariés.
L’Allemagne a la balle dans son camp
On patiente pour connaître les effets dus à la publication du programme de la taxe Robin sur les échanges financiers. Il paraîtrait qu’à cause d’un accord entre les 27 associés européens, l’Allemagne soit obligé de réunir autour d’elle un groupe limité, elle est amenée à cela puisqu’elle a donné sa parole au parti opposant.
Ce dernier contre un appui à la validation du Mécanisme européen de stabilité (MES), voulait effectivement que ce programme soit pris en compte.
On espère environ 50 milliards annuels découlant de cette taxe conformément à la taille du groupe de pays où elle serait instaurée.
Pour l’instant, Angela Merkel a communiqué sur le fait que les quatre premières économies de l’eurozone dont l’Italie, l’Espagne, la France et l’Allemagne avaient avisé leur consentement pour cette taxe.
Mercredi à Paris, elle en parlera assurément à François Hollande. Ils y organisent ensemble le prochain sommet.