Le récent provocateur de l’Europe conforte le danger de bouleversement. Un examen met en exergue les crises bancaires de l’Espagne, sa déchéance par les organismes de notation et le danger de voir la Grèce quitter la zone euro pourraient entraîner à de nouveau être témoin de la diminution des notations de nombreux autres pays de l’Europe incluant ceux qui possèdent un triple A. On cite notamment Chypre, l’Italie et le Portugal.
En outre, la décadence de la notation de l’Espagne jeudi conforte la peur de tous les experts en ce qui concerne la propagation des difficultés de l’Espagne vers ses associés. Chacun pousse l’Espagne, tout à fait résistante, à demander un appui étranger pour régler son désordre bancaire. Pensant être capable de suffire à elle-même, elle s’est jetée dans des errements néfastes dans une atmosphère financière d’or et déjà mauvaise.
Il paraitrait qu’elle consent finalement à recourir à un soutien de près de 100 milliards d’euros. Cette actualité a donné l’impression de calmer les marchés au terme de cette semaine.
Le Dow Jones a finit sur une montée de 93,24 points ou 0,75% à 12.554,20 points, le S&P500 a gagné 10,65 points ou 0,81% à 1.325,64 points. Le CAC 40 a cédé 0,63% (19,47 points) à 3.051,69 points à Paris, le Footsie britannique a reflué de 0,23% et de 0,22% également pour le Dax allemand. L’IBEX 35 espagnol est l’unique gagnant de 1,77%.