Les acteurs du G8 du camp David nomment les entraves à la réponse à la crise de l’Europe lors de cette fin de semaine comme étant « les vents contraires de la croissance ».
Sur le communiqué qui est paru figure les points capitaux ci-après; le G8 désire que la Grèce soit gardée au cœur d’une zone euro solide et une, et à l’Europe globalement. Dans cet objectif, il promet d’aider le développement et l’emploi car des indices réconfortants de reprise internationale se présentent mais maintenir une discipline budgétaire reste toutefois une nécessité. Il faudrait que les efforts pour la restriction recommandés par l’Allemagne et le développement proprement dit soient bien répartis, un avis appuyé par la France suivant son cours.
La Grèce et l’Espagne nagent toujours en pleine crise financière
Au milieu de cette conjoncture, les Grecs courent quasiment vers leurs banques (abaissées à CCC), pour poursuivre les retraits de dépôts, et des bruits semblables déniés quelques instants après étaient ouïs en Espagne où le cours de Dexia a baissé Jeudi ainsi que la note de 16 banques rabaissée par l’agence de notation Moody’s. On patiente pour connaître les résultats de l’audit pour être plus réellement au courant de la situation du système bancaire de l’Espagne.
Le gouvernement ibère transmette pour l’instant sa potentialité d’appuyer ses banques sans utiliser les fonds de l’aide Européenne.
Cependant les cours de certaines régions s’en sortent quand même pas mal…
Aussi on remarque que de solides difficultés persistent dans les places de la bourse. Cependant, Paris n’est retardé que de 0,13% à 3.008 points, de 1,33% pour Londres, de 0,6% pour Francfort, 0,31% pour Milan mais la plus grande surprise est celle de Madrid qui gagne 0,44% même dans une telle situation difficile montrée par un faible rehaussement de l’euro à 1,2773 dollar.
En revanche, le retour de ces difficultés s’est fait sentir dans les bourses de l’Asie avec environ 3% de perte à Tokyo et à Seoul 3,4%.