Au terme de la réunion du G20, on se souviendra que l’eurozone devient le centre principal de l’attention et cela particulièrement en comparaison à la dernière réunion. Ses associés garantissent solennellement de maintenir leur fiabilité et leur solidité. Comme particularité également de cette réunion, l’Italie était la première cause de souci mais maintenant c’est l’Espagne qui a pris cette place.
En outre, la Chine a été félicitée pour avoir peiné afin de clarifier et d’assouplir sa politique dans le domaine de l’échange. Un problème aussi évoqué par les acteurs est de faire reculer la menace du protectionnisme qui ne peut qu’entraîner à la stagnation du développement.
L’importance de la libre circulation a été mise en exergue surtout en ce qui concerne le tourisme, un domaine primordial de l’économie. Pour l’Amérique, l’espoir sur les publications de la réserve fédérale a plus été décourageant: probabilité sur la montée du taux de chômage, révision de la diminution du développement jusqu’en 2014, beaucoup de visages se sont défaits.
Les bourses partout, subissent les conséquences de la crise
Il paraît que le scepticisme qui domine sur les marchés de l’Europe ait tenacement touché Wall Street où les annonces d’indicateurs décourageants se suivent. Sur la fermeture des bourses, celles de l’Europe ont terminé sur une petite montée mercredi, le scepticisme l’emportant sur les marchés à l’arrivée de la publication de la politique monétaire de la Réserve fédérale d’Amérique.
Le CAC40 est arrivée à finir sur une montée de 0,28% à 3.127 pts et le Dax a également avec une amélioration de 0,45%. Le FTSE a gagné 0,64%. L’euro cote 1,270$. Le pétrole termine sur une diminution de 81,80 dollars le tonneau à New York, marquée au titre de la publication sur la montée tant forte que surprenante des réserves de pétrole américain.