En Allemagne, une limite inévitable a été outrepassée lors de ce week end. Cela concerne les 22.000 mégawatts émis de ses plaques solaires. L’Allemagne paraît bien placer pour honorer son défi de condamner de nombreuses usines nucléaires dans les années futur. Il marque par là particulièrement le fait qu’il est possible de garder ses décisions tout en associant le développement avec l’écologie. Un fait demeurant un problème insoluble pour plusieurs pays.
Ceci procure le brin d’espoir qui s’avère fort utile au cours de ces moments-ci dans le domaine de la Finance.
L’Espagne se bat mais la Grèce traine des pieds…
Quand à l’optimisme, on s’engage à l’exercer comme d’espérer que la Grèce demeure dans la zone euro en conséquence à des sondages bien disposés aux adeptes des programmes de l’Europe, pour les votes suivants.
Aimer l’Espagne décidée à se battre avec autonomie afin de sauvegarder ses banques.
Se délecter de la reprise de la montée de Wall Street, se stupéfier qu’un sondage manifeste qu’en dépit de tout, la plupart des européens préfèrent demeurer dans la zone euro, quant aux Grecs, 23% seulement veulent quitter la zone euro.
Et les pompes à essence également s’illuminent. En effet, durant ces 5 mois le prix du pétrole en est enfin au plus bas.
Malgré le fait que certaines données demeurent inquiétantes dont 1/3 de jeunes diplômés persistant toujours sans emploi.
Les bourses poursuivent tant bien que mal leur chemin
La séance de bourse s’est terminée sur une montée de 1,02% mardi à New York, le Dow Jones gagne 126,65 à 12.581,48 points, maintenu par l’espérance de la Grèce vraiment bloquée par la quête de la diminution de la valeur boursière de Facebook, car même le Nasdaq monte de 33,04 points (1,16%) à 2.870.
Paris tire parti de l’ambiance joyeuse, le CAC 40 gagne 1,37%, Londres progressent de 0,65% et le Francfort de 1,16%.
L’état de fait de l’Espagne reste cependant vraiment strict quant à son atmosphère personnelle diminuant de 2,34%, accentuant par là la permanente diminution de l’action Bankia.