L’Espagne ne désabonne pas de la crise

Les problèmes financiers de l’Espagne sont toujours aussi virulents surtout jeudi dernier mais en plus ils font des adeptes dans son entourage durant cette fin de semaine.

Il faut avouer que les mauvaises nouvelles se sont succédées comme la note A qui s’est abaissée à BBB+, ou les données sur le taux de chômage vraiment désespérant et encore le compteur de possibilités d’expansion qui affiche zéro, pointe même vers une valeur négative sur deux fois successives.

Le présent de l’Espagne

Avec tout cela, malgré le fait que les mesures de restriction et de sécurité soient déjà mises en place. Ce qui pourrait faire penser qu’elles ne sont pas du tout efficaces.

Il faut noter que ces buts définis par le gouvernement Ibère sont trop stricts, à en juger selon le point de vue des observateurs financiers de diverses catégories qui en doutent, cela est confirmé par la diminution de son crédit.

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Le défi a atteint un niveau élevé puisque l’Espagne devra fournir beaucoup d’efforts en matière de financement pour se hisser à son degré de développement.

Cela arrive vraiment au mauvais moment, d’autant plus que ses entités bancaires sont précaires de part sa structure constituée par des actifs immobiliers qui sont néfastes pour elles. Faire à nouveau une économie est une obligation mais sera-ce possible ?

Le futur de l’Espagne…

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Les analystes tirent une conclusion comme quoi le développement de l’Espagne n’est plus envisageable avant l’année 2015. Cela se base sur la continuation des résultats non probants sur la politique budgétaire, le taux de chômage en hausse avec les jeunes et donc en gros une personne sur quatre est au chômage.

C’est exactement ce qui s’est passé pour le cas de la Grèce où les problèmes financiers ont fini par engendrés d’autres qui se répètent comme dans le domaine de la consommation, au niveau social… la suite reste encore à venir !

Les bourses mènent leur barque

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Mais Wall Street continue son trajet avec le Dow Jones qui monte à 0,18% à 13.228,31 points, le SP500 gagne 0,24% à 1.403, 36 points et le Nasdaq arrive à 0,61% à 3.069,2 points.

Tout ceci permet à la bourse Américaine de réaliser une semaine agréable, le résultat le plus significatif en comptant depuis mi-Mars. Cela est surement dû à la bonne gestion de la consommation et aussi aux bénéfices obtenus par de puissantes industries Américaines.

Le CAC 40 également réalise un bon succès en gagnant 1,1 % ce Vendredi. Le Nikkei baisse de 40,94 points à 9.520,89.