La réussite du sommet de l’Europe est due à deux raisons capitales.
Première raison
Une caractérisation à nouveau des règlements d’emploi du Mécanisme Européen de Stabilité (MES) et du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) a été effectuée. Le MES n’aura pas la possibilité de prétendre la première place de créancier, ce qui tranquillisera les financiers. Les deux caisses pourront être employées d’une manière plus flexible, tant qu’ils demeureront entre les bornes du domaine qui leur est destiné. Les pays prenant en compte les exigences budgétaires préétablies, auront la possibilité d’utiliser le MES afin d’appuyer leur important marché obligataire.
En outre, la BCE fera office d’encadrement de l’usage des deux caisses.
Seconde raison
Le deuxième point concerne le contrat de développement. Il était spécialement capital pour l’Italie et l’Espagne, qui l’a rendu une convention pour ratifier le contrat intégral du sommet. Réel contrat destiné au développement et l’emploi, il a pour fonction d’encourager l’économie de l’Europe, équiper sur le plan financier les chantiers importants, une version BIG Deal européen avec une ampleur qui devrait augmenter à environ 120 milliards d’euros.
Il devrait faire office de plateau pour la prochaine incorporation de l’Europe ainsi que l’union économique et monétaire. D’autre part, un planning pour ce dessein doit être mis au point, la globalité devant être terminé au terme de 2012. Un compte rendu à cette date devra rapporter les évolutions.
Tous les experts croiser les doigts pour que ce nouveau commencement se poursuive tel qu’il a agit vendredi, à fournir une disposition à la rehausse des bourses universelles.